La Brise au clair de lune
Anonyme1925

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BON

Un poème dit :
O montagnes et fleuves, comme vous êtes immenses ! O Ciel ! Comme vous êtes élevé ! — Pendant des myriades de milliers d’années, et encore des myriades de milliers d’années, — Les premiers hommes ont passé, et d’autres les ont suivis. — Mais combien, parmi eux, ont été des Saints et des Sages ?
Un autre poème dit :
Pendant la veille ou le repos, aidez-vous l’un l’autre à écarter les pensées perfides. — Car quelle âme passionnée n’aime pas les sourcils de papillon ? — Obligeons-nous seulement à ne pas transpercer de critique les pensées surprises, — Et nous mériterons bien d’être escortés avec des hymnes.
Sous la dynastie précédente, dans la ville de Ta-ming « La grande renommée », du Tche-li, vivait un jeune lettré dont le nom de famille était Tié « Fer » ; dont le double prénom était Tchong-yu « Jade-pur », et dont le surnom honorifique était Fong-cheng « Né avec-la-décision ». Il avait grandi, harmonieux de formes, élégant d’allures et de manières, pareil à une Beauté. Aussi, dans son quartier, l’avait-on surnommé Tié la-beauté.

1 édition pour ce livre

2004 Editions Grasset

Française Langue française | Traduit par George Soulié de Morant | 364 pages | Sortie : 25 février 2004 | ISBN : 978B0044FC1F4

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