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Les êtres participent autant de la souche familiale que du terroir où elle est enracinée. Aussi, que Jean Giono parle de ses parents, de sa tante bâtisseuse de voies ferrées et peureuse de tunnels, de M. Jules ou de Marseille, toujours la Provence apparaît, nourricière et source de joie. Une joie qui demeure même aux heures sombres, quand la trompeurs de la guerre appellent les hommes loin des collines où il fait si bon chasser la sauvagine. Une joie que Jean Giono excelle à traduire, entrecroisant les thèmes de la mort, de l'amour et du plaisir de vivre sous le signe de Pan et de son royaume, dans ces récits qui forment le second tome de L'Eau vive.
1995 Editions Gallimard (L'imaginaire)
Langue française | 273 pages
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