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À propos

Je te l'ai dit pour les nuages
Je te l'ai dit pour l'arbre de la mer
Pour chaque vague pour les oiseaux dans les feuilles
Pour les cailloux du bruit
Pour les mains familières
Pour l’œil qui devient visage ou paysage
Et le sommeil lui rend le ciel de sa couleur
Pour toute la nuit bue
Pour la grille des routes
Pour la fenêtre ouverte pour un front découvert
Je te l'ai dit pour tes penses pour tes paroles
Toute caresse toute confiance se survivent
Paul Eluard

Vous aimez les livres?
Vous voici heureux pour la vie.
Jules Claretie.

J'ai le privilège de vivre entre loire et maine.
La loire tout particulièrement nous offre
Ses lumières, ses couleurs.
Elle distribue généreusement
Beauté, force , guérison.
avatar armand7000

armand7000 a commenté

11 mars 2020 16:48

Les premiers poèmes d'Éluard, recueillis dans Capitale de la douleur (1926), L'Amour, la Poésie (1929), La Vie immédiate (1932), La Rose publique (1934), Les Yeux fertiles (1936), illustrent, par de perpétuels chevauchements entre le monde réel et le monde du rêve, l'attitude surréaliste. Puis Éluard renonce à une inspiration uniquement subjective : ses derniers recueils le montrent profondément