[Suivi lecture] Les Faces Litteraires

 
  • Cendre

    Gollum littéraire

    Hors ligne

    #31 09 Juin 2020 20:37:52

    Super ce suivi de tes résolutions littéraires ! Tu as l'air sur la bonne voie. Tes idées de résolutions sont top, je vais peut être en piocher qq unes pour 2021 ;)
  • Telesia_

    Lecteur glouton

    Hors ligne

    #32 11 Juin 2020 15:19:54

    Je comprends l'idée du temps trop court. Je suis dans le même cas.
    Petit passage express pour te féliciter de l'évolution de tes résolutions littéraires.
  • Les Faces Litteraires

    Lecteur professionnel

    Hors ligne

    #33 13 Juin 2020 17:05:41

    Fried → Je deviens moins rêveuse en ce moment avec ce suivi, ça me prend énormément de temps et parfois je n'y pense pas à venir le mettre à jour. Néanmoins, je suis heureuse de voir qu'il plaît et surtout que même si j'en dis beaucoup, il n'est pas trop "lourd". J'essaye de le faire le plus complet possible, sans trop en mettre, parce que je pourrais en dire énormément ; comme tu peux t'en douter.

    Cendre → Je l'avoue, je suis assez fière de moi avec mes résolutions. Même en sachant que certaines, je ne vais pas les valider. Pour l'année prochaine je prévois d'en faire moins pour moi, j'en ai choisis 16, mais je me rend compte que je me concentre sur les mêmes. Donc je verrais. Après plus j'en valide et mieux c'est, dès qu'une est validée, je peux la remplacer pour une nouvelle ou l'augmenter. C'est ça qui est motivant pour ma part.

    Telesia_ → Parfois, j'ai l'impression que le temps avance trop vite et dans d'autres moments c'est le contraire. Merci beaucoup de ton passage, ça fais plaisir !

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    > Bonjour, j'espère que vous allez bien. Alors, je suis entrain d'écrire un vendredi soir pendant un orage... et j'adore les orages. Vous pouvez me prendre pour une folle, ça ne me dérange pas. Il faut savoir que quand j'étais petite, j'appelais au secours ma mère, j'en avais très peur. Maintenant, ça me fascine. Je ne sais pas si c'est génétique, mais mon grand-père maternel faisait comme moi, il se mettait à la porte et regardait les éclairs et écoutait le tonnerre. Par ça, je me sens proche de lui sans même l'avoir connu. Je poste ici, le lendemain, donc samedi. Je veux éviter de publier en pleine nuit entre 00h et 3h. On se retrouve donc pour plusieurs rubriques, le sommaire est ci-dessous.
    Sur le blog
    Point lecture
    Lecture en cours
    Mes dernières réceptions
    Mes challenges
    Musique du jour


    SUR LE BLOG

    > Comme vous pouvez vous en douter, j'ai publié 3 articles depuis la dernière fois. Je m'avance au maximum avant Octobre, où je risque de partir en stage et de moins avoir le temps de mettre mes chroniques en ligne. Et j'ai hâte de partager mes avis sur mes lectures coup de coeur, c'est aussi ça la vérité.

    Le secret de la Montagne Noire, Tome 1 : Les amants de la bergerie de Bruno Combes ←

    Avis :<image>
    Ce n’est pas la première fois que je lis Bruno Combes, après ma découverte de « Seulement si tu en as envie », j’ai souhaité continuer avec ce roman. Et je suis plutôt satisfaite de ma lecture, malgré quelques faiblesses. Les dialogues ne sont pas forcément intéressants, la plupart semblent insignifiants, voire simplistes ; principalement dans les ressassements des personnages. D’ailleurs, je n’ai pas franchement accroché avec l’héroïne, cette dernière est très spéciale ; toutefois, ses demandes, ses doutes et ses envies sont judicieux. L’histoire est intéressante, avec au début une large présence de mystère ; celle-ci dure toutefois très peu de temps. En effet, les révélations ne se font pas rapidement, mais les soupçons et les tâtonnements vers la vérité se fixent au fil des pages. Un récit contemporain, exprimant une touche jeunesse et dépaysante.
    ***
    J’ai bien aimé ce premier volume, la fin n’est pas très surprenante, toutefois elle donne envie de se lancer dans le deuxième tome. Les personnages ne sont pas franchement attachants, parfois agaçants ou démoralisants, mais suivre les changements qu’ils opèrent dans leur vie est enrichissant. Il ne faut pas s’attendre à beaucoup de suspense avec cette œuvre, et encore moins à une écriture harmonieuse. Pour moi, c’est de la littérature de gare, le thème possède un grand potentiel, en revanche le traitement n’est pas magnifié. J’ai éprouvé quelques sentiments, la retransmission de la part de Bruno Combes sur l’angoisse des protagonistes est présente du début à la fin.
    Pour lire l'ensemble de ma chronique

    Bad, Tome 3 : Amour coupable de Jay Crownover ←

    Avis :<image>
    Un troisième volume beaucoup plus touchant que les tomes précédents, et le titre parle de lui-même pour l’émotion principale : la culpabilité. L’intrigue est immédiate dans les premières pages avec un prologue révélant une partie du dénouement de « Amour coupable », mais rien n’est dévoilé sur le commencement de cette histoire extraordinaire. J’ai pratiquement dévoré ce roman, le suspense est à son comble et c’est une bonne surprise pour cette saga. De plus, j’ai passé un vrai moment avec les personnages ; je suis entrée pleinement dans leur tête et leur vie, ils sont différents de Bax et Dovie, et du couple Race et Brysen. La plume de l’auteur est cette fois bien plus harmonieuse et captivante, difficile de ne pas se sentir emporté par cette œuvre-là. Tout est absolument mis en scène pour être téléporté dans l’univers de The Point, d’une Guerre inimaginable et d’un amour intense.
    ***
    En résumé, je me suis laissée envahir par « Amour coupable », c’est pour moi une révélation en ce qui concerne les personnages. Titus est un homme pas plus « sage » que Bax ou Race, en comparaison c’est le héros retenant sa part obscure et la défiant sans cesse ; un combat à rude épreuve pour cet inspecteur. Reeve a laissé derrière elle des traces de sa trahison, difficile d’être prise au sérieux après cela ; pourtant c’est une protagoniste avec un cœur de femme, elle souhaite être aimée pour ce qu’elle est et ne cache aucunement ses propres sentiments. Deux individus en totale contradiction, l’un juste avec la loi, l’autre justicière dans ses envies de vengeance. Une histoire magnifiquement mise en valeur dans les sentiments, tout en offrant suspense et action. Le manque d’originalité n’est pas gênant pour ce genre de lecture, ceci est habituel. Des moments intenses, presque à couper le souffle ; et suivre encore les anciens personnages secondaires est enrichissant et plaisant. Un style espiègle, charmeur et poignant de la part de l’écrivain ; entre violence, passion, plaisir et sensibilité, Jay Crownover révèle sa magie d’auteur de New-Adult et développe avec expertise son univers.
    Pour lire l'ensemble de ma chronique

    Riley Jenson, Tome 4 : Jeu dangereux de Keri Arthur ←

    Avis :<image>
    Retour dans un genre que j’apprécie, la Bit-lit. Cette fois, je suis revenue dans l’univers de Riley Jenson, mi-vampire, mi louve-garou ; après au moins 2 ans de pause dans cette saga. Et je regrette d’avoir attendu autant de temps pour me replonger dans ce monde fantastique plutôt réussi et intéressant. Dans ce quatrième volume, les gardiens doivent enquêter et combattre plusieurs meurtriers, et pas des moindres. L’histoire n’est pas plus mystérieuse que ça, les révélations ne sont guère surprenantes ; toutefois, cela reste un synopsis passionnant et différent des autres. Je n’ai pas spécialement ressenti d’émotion, sauf une pointe d’horreur quelquefois. Une lecture vive, ne laissant que très peu de répit.
    ***
    En définitive, j’ai apprécié mon retour dans cet univers à la fois fantastique et mystérieux. Le suspense est un fil conducteur dans cette saga, malheureusement les indices ne s’invitent pas et on se laisse porter par l’histoire sans, vraiment, savoir quoi que ce soit. Donc, on est dans un brouillard pénétrant et parfois agaçant. Riley essaye tant bien que mal de désobéir au Directoire, c’est une héroïne spéciale et différente ; elle est surprenante. Par contre, Quinn est un personnage peut-être plaisant au début, mais il devient très vite irritant ; j’espère un changement pour ce vampire énigmatique. Keri Arthur détient une écriture épicée et naturelle, toutefois ; âmes sensibles s’abstenir. Un quatrième tome virevoltant dans les péripéties, avec quelques épines de sentiment et une fin de caractère.
    Pour lire l'ensemble de ma chronique


    POINT LECTURE

    > Pour simplifier au maximum ce message, je vais mettre ma chronique entière sur Juste quelqu'un de bien de Angéla Morelli, et dans quelques jours je reviendrais pour vous partager celle sur Dragonfury, Tome 4 : Furie de désir de Coreene Callahan ; j'avance plus vite que je ne le pense, donc automatiquement j'ai du retard par ici. Je pense finir par me mettre une alarme pour donner des nouvelles.

    Avis :<image>
    Il m’est difficile de parler de cette lecture, je ne sais comment la décrire. Autant, je l’ai beaucoup aimée et, autant, je l’ai trouvée parfois trop légère. En effet, l’humour se présente souvent dans cette histoire, principalement dans les passages entre l’héroïne et sa meilleure amie. Dans cette œuvre, l’étincelle des émotions manque cruellement ; j’ai senti des sentiments, sauf qu’ils sont éphémères et passagers. Ils ne restent pas réellement à l’esprit ou dans le cœur, en cause, les traits d’esprit les coupant abruptement. J’ai passé un très bon moment dans l’ensemble, avec des pages rapides et faciles à lire, sur des actions et des pensées florissantes. La vie d’une femme d’une trentaine d’années est à l’honneur, avec ses questionnements sur son père et des doutes envers l’amour. C’est un contemporain, ouvert sur une note de romance et une quête initiatique ; à la fois passionnant et simpliste sur le ton. Cependant, le récit n’est clairement pas superficiel, beaucoup de sincérité et d’éléments fidèles à l’existence.

    À trente-quatre ans, Bérénice ne sait plus ce qu’elle veut et surtout comment évoluer dans sa vie. Son travail d’écriture est au point mort, rédiger des histoires d’amour se transforme en questionnement sur elle-même. Cette femme n’est jamais tombée amoureuse, et je suis persuadée que cela est possible ; de ne pas avoir rencontré la personne qui nous fait battre le cœur. Cependant, soyons honnêtes, depuis la fin de son adolescence, elle s’est amourachée d’un jeune homme et depuis elle est dans l’impossibilité de l’oublier réellement. L’héroïne stagne dans sa vie, elle ne souhaite plus de cette existence sans amour, de ses soirées où elle drague pour finir dans le lit d’un inconnu. Et, enfin, après des années et des années, elle s’interroge sur son géniteur. Plusieurs fois, j’ai souhaité lui crier de se réveiller pour chercher les réponses, pourtant, Bérénice ne manque pas de dynamisme. Je ne me suis pas forcément attachée à elle, mais je l’ai bien aimé ; dans ses plaisanteries avec Juliette, sa meilleure amie, dans sa complicité avec sa mère et sa grand-mère et dans son esprit plein d’imagination.

    Dans cette histoire, les autres protagonistes sont plutôt secondaires ; mais essentiels pour l’intrigue et les valeurs du roman. Déjà, Juliette, elle est très présente et raconte les épreuves d’une mère d’un nouveau-né ; les nuits blanches, les pleurs constants où la fatigue et les doutes ne font qu’un. En différence de Bérénice, je me suis prise d’affection pour elle. L’homme du livre, Aurélien, est père d’un petit garçon ; ce dernier a cessé de parler après le départ de sa mère. Ce personnage doit gérer son travail de journaliste, qui ne lui convient plus, son enfant seul et les problèmes financiers. Je l’ai bien aimé à l’âge de trente-cinq ans, beaucoup moins durant sa jeunesse et ses pertes de mémoire. Ensuite, la maman et la grand-mère de l’héroïne donnent plusieurs particularités au récit, de la croyance et une sagesse incroyable. Ces deux femmes m’ont fait sourire, et j’ai admiré leur force durant toute ma lecture.

    Une histoire plutôt surprenante pour ma part, je n’ai pas perçu chaque émotion ; néanmoins, les cheminements ont du sens et peuvent retentir en chacun de nous. Le sujet n’est pas commun, le fait de n’être jamais tombée amoureuse est très peu abordé dans les romans ; c’est intéressant et d’actualité. Les sentiments sont à la volée, difficilement saisissables sur le long terme de l’œuvre ; quelques censures à ce propos, opprimés par l’humour familier et naturel. Le mystère est de mise dès les premières pages et se conserve sur une bonne partie du livre ; cela laisse toujours des incertitudes et offre un souffle inédit au genre romance-contemporain ; couramment prévisible sur la teneur de l’histoire. Là, cette fois, les scènes concèdent des effets de surprise et prodiguent un état addictif. De la plus douce des façons, le thème livre des pensées sur l’amour, la vie d’un écrivain et les situations parentales. En suivant plusieurs individus différents, leurs existences de chaque jour et leurs évolutions.

    Une écriture très enrichissante, bercée sans cesse par des traits d’esprit ; plutôt agréable et pointant clairement le style de l’auteure. La plume de Angéla Morelli est rythmée, aucun répit entre les chapitres ; sauf sur la transmission des émotions. De l’authenticité et des phrases pleinement ouvertes, les mots coulent d’eux-mêmes. Je suis seulement désappointée par la forme de la troisième personne au singulier utilisé, encore et toujours, cela ne s’imbrique pas vraiment avec les sentiments. Mais, je retiens d’elle, des dialogues bien construits et une narration légère et recherchée.

    « Juste quelqu’un de bien » porte la joie, sans pour autant être un roman exceptionnel, on passe un moment plaisant au côté des personnages. Ces derniers ont une personnalité singulière des uns et des autres. Je ne vais pas garder un souvenir impérissable de Bérénice, sa façon d’être n’est pas continuellement engageante, néanmoins elle est bonne vivante et change au fil des pages. Le récit est entraînant, principalement grâce au suspense ; et l’ensemble des sujets sort des contextes habituels ; l’auteure détient des touches personnelles en plus d’une imagination authentique. Une lecture contemporaine, avec un brin de romance et une belle dose de folie, l’amour n’est pas toujours au coin de notre porte et Angéla Morelli raconte des faits, interrogations et réponses sur ce thème. Ce livre est une goutte d’inspiration pour les femmes modernes, en recherche de l’amour à la fois parfait et imparfait, en réflexion sur ses capacités et ses envies futures. L’humour apporte un éclairement sur la vie, tout en effaçant les belles émotions. Au sein de ce feel-good, on se plonge dans une multitude de destinées.


    LECTURE EN COURS

    > J'ai commencé Close-Up, Tome 1 : Indomptable Sandre de Jane Devreaux, pour l'instant, samedi fin d'après-midi, j'en suis à la page 203. Je l'avoue, c'est un roman addictif et un peu agaçant sur les bords.

    Résumé :<image>
    La rumeur dit que la rebelle a de lourds secrets familiaux. On la craint. Tout le contraire du beau gosse dont la vie parait simple, déjà tracée. Pourtant... Une seule provocation de Sandre va suffire à bouleverser leurs vies, pour une incroyable histoire. Pour se protéger, elle va le provoquer. Pour la protéger, il lui confiera ses secrets. Elle, c’est Sandre River. Ses yeux noirs trop maquillés en ont déjà fait trembler plus d’un. Elle est solitaire, mystérieuse, et tous craignent ses réparties. Lui, c’est Joshua Anderson, le rugbyman le plus populaire du lycée. Celui qui sort avec la sublime et trop prude Marcy Shepard, et dont la vie paraît tellement droite, que cela ne peut que cacher des secrets. Jamais, Sandre ne reconnaîtra qu’il lui plait. Jamais, Josh n’avouera que ses hormones le travaillent et qu’il n’en peut plus d’attendre. Une seule provocation de Sandre va suffire à bouleverser leur vie : « Tu sais quoi, mon vieux, t’as les couilles en ébullition et tu n’arrives plus à penser avec ta tête. » Qui aurait pu imaginer que ces mots donneraient naissance à une incroyable histoire où les deux héros adolescents vont découvrir leur corps et peut être s’aimer... ?
    Avis partiel :
    L'héroïne possède un caractère agressif, et ne fait rien dans la dentelle. Solitaire dans son lycée, elle se cache derrière des vêtements sans formes. Pourtant, on imagine fortement sa beauté, elle n'est pas complexée par son physique mais par son vécu. Sandre est un mystère, une jeune femme emmenant les surprises ; elle n’est pas forcément très honnête avec elle-même et les autres, elle semble réellement insupportable. Joshua n'est pas plus ordinaire qu'elle, au contraire, c'est un adolescent charmeur et populaire, pourtant, il n'a pas encore touché une fille. Très étonnant dans une romance, pour une fois, le garçon est vierge. Pour l’instant, j’accroche bien avec ce personnage masculin, tendre, tourmenté par son passé et ses hormones. Le vocabulaire utilisé est décomplexé, du style familier ; mais cela se dévore assez facilement et ce n'est pas désagréable. Une écriture simple avec une belle disposition des descriptions, Jane Devreaux signe une histoire d'amour, potentiellement haute en rebondissement.


    MES DERNIÈRES RÉCEPTIONS

    > Commandées depuis le 2 Juin, je les ai reçus hier et j'en suis ravie ! En fin de mois, je dois lire Meg Corbyn, Tome 2 : Volée noire de Anne Bishop, comme vous le savez, le premier tome a été une révélation pour moi.

    <image>

    MES CHALLENGES

    > Je souhaite présenter les challenges auxquels je participe, c'est comme le reste, ça prend du temps. J'essaye donc, de le faire une fois sur deux. Pour aujourd'hui, j'ai choisis Attrapez les tous, Pokémon ! créé par Fille-de-lecture.

    <image>

    Pour résumer, c'est un challenge avec des consignes, plus de 800... Je vous jure, vous ne rêvez pas ! En réalité, je me suis désinscrite en Novembre et j'ai souhaité reprendre, je suis donc revenue depuis quelques jours dessus et je remercie Fille-de-lecture d'accepter mes lectures passées depuis ma désinscription. Des consignes variées, plus ou moins faciles et plus ou moins difficiles. Sachez qu'il se déroule en illimité, aussi il existe plusieurs options, personnellement, je suis éleveuse. Cela me permet de valider des pokémons pour les autres, ceux que j'ai, sont donc à donner ; mais d'abord je dois les soigner. Aussi, le privilège de cette catégorie, c'est de pouvoir valider plusieurs fois le même pokémon ; seulement après l'avoir donné. Sur mon doc google, j'en possède 47, je dois donc continuer de les signaler. Si vous êtes courageux, n'hésitez pas à nous rejoindre !
    Rejoindre le challenge.


    MUSIQUE DU JOUR : Out Of My Head de John Newman

    > Je clôture pour ce samedi, je termine cette rédaction à 00h30, je dois encore faire la présentation. Aussi, je vais mettre à jour un peu mon blog, mon onglet PAL et celui des CHRONIQUES À VENIR. Ensuite, je me sors de l'ordinateur pour aller lire, j'ai l'impression de ramer en ce moment. Je dois en plus finir une série du nom de Transplant pour vous donner un avis dessus, et regarder un film biographique, dramatique et romance ; J'y crois encore - je sens que je vais pleurer toutes les larmes de mon corps avec ce visionnage. Promis, je reviens rapidement, lundi soir ou mardi après-midi. Je compte vous parler d'une idée de challenge, sans dévoiler trop d'information. Pour le Loto Littéraire 5, je suis à la recherche d’un nouveau participant, si ça vous intéresse, n’hésitez pas. C’est sans pression et vous faites ce que vous pouvez. Des Jokers sont là pour vous aider durant toute l’édition. Et, ci-dessus, une musique, pas toute récente ; pour tout vous avouer c'est mon chanteur préféré. Voilà !

  • Les Faces Litteraires

    Lecteur professionnel

    Hors ligne

    #34 17 Juin 2020 02:00:02

    > Bonsoir, comme promis on est mardi soir - mercredi dans la nuit, donc je passe pour donner des nouvelles de lectrice ! Je regarde en même temps la télévision, 27 robes sur TFX, je l'ai déjà vu et revu, mais j'aime avoir un peu de son quand je travaille devant l'ordinateur. Ce qui me dérange particulièrement dans mes moments de lecture, alors j'en profite un peu. En sommaire, nous allons retrouver la plupart des rubriques habituelles.
    Sur le blog
    Point lecture
    Lecture en cours
    Mon prochain lancement de challenge
    Musique du jour


    SUR LE BLOG

    > Cette fois, un seul article publié dimanche après-midi. Et je vais seulement en poster un autre vendredi, demain j'ai un rendez-vous chez l'ophtalmologiste, alors je vais être dans l'impossible d'envoyer ma chronique du mercredi.

    Les apparences de Gillian Flynn ←

    Avis :<image>
    Un scénario d’une profonde perfection, inattendu. L’histoire est menée d’une main de maître, principalement le suspense et la construction de la personnalité des personnages. Toutefois, je ne suis pas totalement convaincue par le style de l’auteur, trop de précision et de détail ; la première partie est lisse, trop « académique » ; cela laisse peu de place à l’émotion. La seconde est beaucoup plus intéressante, avec, légèrement, moins de mystère et donc une énigme révélée, aussi le récit paraît dérangé et dérangeant. Je me suis clairement fait surprendre par le ton, le développement et l’intrigue de ce livre. Mais est-ce que cette œuvre possède une vraie fin ? Non, je me sens abattue envers le dénouement. Ce n’est ni un happy-end, ni un sad-end ; je me suis imaginée une suite après les derniers mots.
    ***
    Une lecture impensable, inimaginable. Bien qu’elle soit superficielle, j’ai passé un bon moment. C’est très différent de ce que je lis habituellement, je sors de ma zone de confort avec « Les apparences ». L’histoire est réellement bien rédigée, me mettant dans un état d’incompréhension au départ et me laissant un peu sur les nerfs. J’ai eu l’impression d’être prise pour une marionnette avec cette œuvre, c’est une sensation inédite. Nick et Amy, deux personnages complètement étranges, ils sont réellement structurés, et cela, du début jusqu’à la fin ; pourtant je n’ai pas apprécié leur caractère — Nick manque de vivacité, en comparaison, Amy en possède en excès. Un récit clairement pas ordinaire, détenant une tonne de suspense ; des événements pour l’élaboration en soustrayant toute possibilité d’émotion et une écriture démesurée où des données parfois inutiles apparaissent. Aussi, j’ai visionné le film juste après avoir fermé le roman, il n’y a aucune différence entre les deux ; juste un peu moins d’enrichissement, ce qui n’est pas plus mal.
    Pour lire l'ensemble de ma chronique


    POINT LECTURE

    > Mon retard s'accumule déjà ici, j'ai déjà deux avis de rédigé. Je vais donc publier les deux, pour éviter le pire. Pour commencer, celui de Dragonfury, Tome 4 : Furie de désir de Coreene Callahan et ensuite celui de Close-Up, Tome 1 : Indomptable Sandre de Jane Devreaux.

    Avis :<image>
    L’univers des dragons est toujours dans l’inédit pour moi, peu de roman et principalement de bit-lit, utilisent ces créatures comme thème. Généralement, ce sont des vampires, loups-garous ou métamorphes ; pourtant le monde des dragons-humains est intéressant et très vivant. En effet, les combats et attaquent qu’ils mènent fréquemment se déroule dans les airs, avec différents pouvoirs. C’est toujours passionnant à suivre ce style d’action, où le répit n’est pas accordé. L’ambiance des Nightfury est fascinante, leur façon d’être et de vivre, le lien face aux femmes grâce au Méridien ; encore une fois, l’histoire m’a embarqué au-delà des possibles. La romance est toujours une base dans cette saga, toutefois, dans « Furie de désir », elle est plus lente et la relation n’est pas tout à fait acquise dès le début. Wick et Jamison Jordan ne sont pas confiants pour construire une intimité, sauf que la magie est plus forte que le passé. Sous le charme de ce tome, je le juge à la hauteur du premier et du second, où la trame principale ; la guerre face aux Razorbacks, est de nouveau harmonisée avec l’histoire d’amour.

    Wick est un dragon sauvage, sur la réserve dans les conversations. Son besoin de calme, de tranquillité est touchant, tout comme son passé cruel. Je me suis prise d’affection pour ce héros respirant dans la honte. Ses pouvoirs ne sont pas extraordinaires, plutôt simples sur le fond et en différence de ses compagnons. Toutefois, je préfère ce style d’homme, avec énormément de cicatrices et de sentiment à donner, et moins d’aptitudes magiques. Wick paraît tellement humain dans ses émotions, déroutant dans sa personnalité et ses réactions. Certains passages avec lui peuvent prendre au cœur, j’ai ressenti plusieurs fois des sensations coup de poing ; ses doutes, ses erreurs, sa culpabilité, son besoin de combattre et sa douceur cachée. Certes, il perçoit ses faiblesses et sa sensibilité, sauf qu’il se voit dévastateur et sans possibilités de réellement aimer. Il est plutôt respectable et honnête, malgré ses secrets envers les siens ; son jardin secret est difficile et il ne souhaite recevoir aucune pitié. Wick est fort, sur ses gardes pendant les combats, et fragile sur son passé et son intimité.

    J.J. Solares n’est pas simplement une femme de forte énergie, il se trouve qu’elle est aussi la sœur de Tania ; l’héroïne du troisième tome de la saga. Blessée à l’hôpital, après des années en prison ; injustement jugée. Elle n’est pas entre la vie et la mort, cependant, elle est poursuivie par un homme lui souhaitant du mal. Peut-être même, de la tuer. Jamison choisit de prier, réclamant un miracle ; drôle et attachante, je me suis laissée porter par sa bonne humeur et son courage. Elle ne recule devant rien, malgré toutes ses anciennes douleurs. Néanmoins, je me sens légèrement déçue par J. J., relativement sur la touche pendant l’histoire, elle semble parfois oubliée et peu développée sur sa nature. Il manque l’étincelle sur cette protagoniste, des informations sur ses émotions et sentiments ; toujours pleine d’énergie, cela ne peint pas véritablement une humaine. J’essaye de penser positivement à son sujet ; ses épreuves l’ont sûrement et clairement endurcis. Une héroïne naturelle, intelligente ; sachant être un baume et une égale d’un seul homme.

    L’intrigue reprend son cours avec la guerre des Razorbacks, et, en prime, sur Rodin et ses trafics. En comparaison du volume précédent, l’action dépasse largement la romance ; redonnant du souffle à la série. Sur le conflit entre les deux clans, le mystère est entièrement présent ; impossible d’imaginer une fin quelconque. Le scénario traîne inconsciemment sur la longueur, et cède autant d’incertitudes qu’au début. L’univers des dragons est une première pour moi, en dehors de cette saga, je suis essentiellement habituée aux vampires et loups-garous ; automatiquement, cela me paraît donc original. L’histoire en elle-même ne l’est pas totalement, je rencontre le même registre sur « La confrérie de la dague noire ». L’histoire d’amour entre Wick et Jamison est fascinante, étant très peu mise en valeur ; j’ai discerné les sentiments entre eux et le lien magique qu’ils ont créé. Ils forment un couple puissant, seulement la relation est élémentaire et n’est pas forcément cohérente sur les émotions. Un récit surprenant sur sa reprise du fil conducteur envers la croisade des dragons, ses batailles révélatrices de pouvoir et sur le peu de scène sensuelle. En revanche, la romance tombe sous le sens dès le départ, indépendamment des blessures psychiques de nos deux héros.

    L’auteure ne s’embarrasse pas de futilité dans ce tome, sa plume est spontanée et vive. Malgré tout, le rythme ne tient pas intégralement sur l’ouvrage. En effet, les changements de perspective peuvent donner du fil à retordre. Pourtant, cela est capital pour l’intrigue ; mais les chapitres se terminent souvent sur une note brutale et commencent généralement avec une autre vision en laissant la partie d’avant négligée. L’écriture de Coreene Callahan est belle, partageant avec honneur imagination et émotion ; le vocabulaire est de temps en temps vulgaire, loin d’être étrange pour de la bit-lit.

    Le désir entre Wick et Jamison se détecte de but en blanc pendant leur rencontre, néanmoins, celui-ci ne s’armure pas sur toute l’histoire. La relation s’impose d’elle-même après la moitié du roman, et garde de la distance face à l’intrigue de base. Cette romance est prévisible, et elle n’est pas entièrement en accord avec le passé des personnages. Wick est un homme redoutable dans les attaques ; or, face aux femmes il est désarmé. Un héros avec une histoire derrière lui, ancrée à même sa peau ; je l’ai chéri pour sa tendresse inconnue de lui-même. J.J. Solares est une héroïne passionnante envers son vécu, malheureusement, elle n’est pas messagère de sentiment ; c’est une femme déterminée, noyée dans un nuage de remords. Le synopsis est sur la même longueur d’onde des volumes précédents, la guerre entre Nightfury et Razorbacks fait toujours rage. Je me sens peut-être lassée, impression d’une intrigue faisant du sur place. Le suspense est équilibré, des moments semblent inattendus et des aspects traditionnels, sans étonnement. Heureuse de suivre ce monde dragon-humain, en quelque sorte singulier, pour ma part. La plume de Coreene Callahan offre du dynamisme tout en abîmant l’harmonie, un style lui appartenant sans aucun doute ; une auteure livrant des scènes d’affrontement exceptionnelles, et allégeant les passages charnels. J’ai éprouvé quelques émotions à travers ma lecture, elles s’avère saisissantes ; grâce aux plaies anciennes et en souvenir de Wick et Jamison.


    Avis :<image>
    De la première page, jusqu’à la dernière, ma note sur ce livre m’était inconnue. Cette lecture m’a mise dans tous mes états, entre agacement et addiction ; d’une part, j’ai dévoré l’histoire et, de l’autre, j’ai eu envie de la passer aux oubliettes. Un roman d’amour où les personnages sont jeunes, mentalement, et pourtant avec un vécu difficile. Sandre et Joshua semblent tous les deux dans une impasse, ils ne savent pas comment s’en sortir. Il y a énormément de colère dans cette œuvre, pour cette raison, je me sens mitigée envers ce premier volume ; toutefois, la fin laisse un suspense insoutenable et engendre une curiosité sur la suite de cette trilogie. La base du récit est plutôt originale, pour une fois, le protagoniste masculin est vierge ; pour une romance, ce n’est clairement pas habituel, ce choix-là ; décision rafraîchissante de la part de l’auteure. La plume de Jane Devreaux est familière, pourtant toutes en description ; de plus, elle alterne avec les deux points de vue de manière à apporter des sentiments.

    Sandre, une héroïne pleinement surprenante et hors de contrôle. Sa rébellion en dehors de chez elle donne des sueurs froides, ses crises de colère sont exagérées. Une héroïne avec un caractère fort, et de temps en temps choquant ; je me sens tirailler à son sujet. Sa personnalité est simultanément irritante, passionnante, profondément mystérieuse et revêche pour se dévoiler. Ce n’est pas possible de se refléter en elle, Sandre est incomparable. Ses agissements et ses réactions, sa façon de se comporter peuvent déplaire totalement ; au début, je suis passée par énormément de contrariété avec cette jeune adolescente. Et puis, ses émotions, en dehors de l’attirance physique pour un garçon, prennent plus d’importance au fil de l’histoire. Ses ressentiments ont du sens, ils font très mal au cœur ; pourtant, Sandre se bat et en dehors de ses mauvais choix, ses capacités d’autonomie et sa détermination pour s’instruire au lycée font d’elle une fille détenant de la ressource.

    Le héros de ce roman n’est pas commun, Joshua Anderson est en couple depuis quelques années avec la même fille. Ce jeune homme est légèrement complexé par sa virginité, et principalement par ses hormones en feu. À son âge, c’est rationnel, malheureusement sa copine est fidèle à sa religion et ne souhaite pas découvrir l’amour physique avec son amoureux. Pour un peu, j’ai ressenti de la pitié pour Josh ; un garçon mené par le bout du nez des femmes, dont sa mère, Marcy et Sandre ; il n’est aucunement protégé, je l’imagine même traumatisé. De plus, il fait des cauchemars et se culpabilise envers le passé ; sa sensibilité d’adolescent est touchante, tout comme son besoin de sexualité. Un personnage attachant, et quelquefois imbécile dans ses décisions et ses pensées internes. Le pire étant de suivre ses souhaits, ne sachant pas ce qu’il désire réellement. Clairement, Josh est perdu et, comment lui en tenir rigueur alors qu’il n’est qu’un jeune de dix-sept ans ? Au bonheur, sur la fin, son esprit lui souffle la bonne voie et promet encore bien des péripéties.

    Alors, maintenant, j’aborde le plus épineux ; l’intrigue et sa construction. Les développements du début sont concernés, tout comme la narration grossière et très spontanée. Impatiente de constater le premier face-à-face entre nos deux personnages, l’entrée en matière est sans grand intérêt. Le couple de Sandre et Josh est intense, intéressant et complexe ; ils se voient l’un dans l’autre. Ils s’ignorent jusqu’au moment où ils doivent réaliser un devoir ensemble, à partir de cet instant, tout est bouleversé. Autant de points les opposent et les rassemblent, et, leur relation explose en des milliers d’étincelles. Une histoire d’amour où des aspects paraissent inédits et des clichés s’installent durement, pouvant déranger ; dont le triangle amoureux. En vérité, je suis relativement étonnée par ce roman, des sujets comme la découverte de la sexualité, de la fidélité et de l’abandon parental. Sur le fond, le récit se base généreusement sur les scènes sensuelles, et le dénouement de ce premier tome est pour ainsi dire ; inattendu. En l’occurrence, « Indomptable Sandre » exprime des émotions, peut-être justement à l’excès et sur des façons négatives ; entre la colère de l’un et la frustration de l’autre, je me suis sentie emportée dans un tourbillon de frénésie.

    Justement, le style de Jane Devreaux est différent, sans aucune réserve. Elle laisse réellement ses tripes et son âme dans cet ouvrage. Une écriture laissant à désirer, les vulgarités oppressent l’authenticité de l’histoire ; toutefois, sur la durée, le ton est rythmé et parfaitement régulier. Jane Devreaux relaie les deux perspectives, celle de Sandre et de Josh, une belle façon d’éviter un déplaisir total pour l’un ou l’autre. Malgré son vocabulaire insolent, l’auteure communique un équilibre entre les détails de fond et les sentiments intérieurs ; d’une part, sa plume se dévore et distinctement elle est repoussante.

    Globalement, cette lecture est déstabilisante ; une romance mélangeant caricature et originalité, caractère et caresse. Des héros imprévisibles et incontrôlables ; Sandre est assurément Indomptable, habituée à la solitude, elle se ferme entièrement au monde extérieur. Avoir des amis, un petit-copain et faire la fête comme tous les jeunes de son âge n’est plus pour elle. C’est le genre de fille nous retournant le cerveau, se cachant derrière des habits difformes et une agressivité à toutes épreuves. Josh est plus doux, sans être honnête avec lui-même et les autres également ; néanmoins, j’ai la sensation d’en savoir moins à son propos. Seulement, son absence d’intimité est frappante, et j’ai cerné cette nécessité pour lui. La connexion qu’ils entretiennent ensemble est déroutante, dans les instants charnels ils forment une seule et même entité. Et, en public, ils font abstraction de tout ce qu’ils vivent en secret. Ils résonnent, et se complètent mutuellement. Après la fin de ce premier volume, ma seule idée est de poursuivre cette trilogie sans tarder, le suspense est impressionnant en dépit de la romance. Le triangle amoureux est indispensable à l’intrigue, ce sont les nœuds de Joshua, ses doutes et questionnements ; toujours est-il que les tournures ne sont pas de bons goûts. Enfin, l’écriture de Jane Devreaux est généreuse, sur quelques mots faisant naître de la torture et provoquant une addiction. Un livre ouvert d’esprit, sûrement sans-gêne ; où la passion, la colère s’éprouvent facilement.


    LECTURE EN COURS

    Résumé :<image>
    Après des années à s’occuper de sa mère malade, Drea s’efforce tant bien que mal à assurer deux boulots pour payer les factures, quitte à mettre sa vie entre parenthèses. Lorsqu’elle doit organiser les fiançailles de sa meilleure amie, elle fait la connaissance de Cujo, le meilleur ami du fiancé. Et ce dont elle n’a vraiment pas besoin, c’est que ce tatoueur sexy chamboule l’équilibre précaire sur lequel repose sa vie. Lorsque Drea est témoin de l’enlèvement d’une femme dans le café dans lequel elle travaille, elle choisit de se tourner vers Cujo. Déterminé à lui montrer qu’elle peut compter sur lui, il l’aide à découvrir la vérité. Une vérité qui risque de mettre leurs propres vies en danger…
    Avis partiel :
    Après 30% de lecture, je ne perçois que très peu de sentiment avec cette histoire d'amour. J'ai aussi, toujours le premier tome de « Sous ta peau » en tête, une oeuvre vibrante et différente. « Broken » me captive beaucoup moins pour l'instant, heureusement, les pages se tournent facilement. Et malgré un récit plutôt lent, contenant peu d'étincelles, je m'attache de plus en plus à Drea et Cujo, deux personnages haut en couleur et réservant bien des surprises ! J'apprécie les passages où ils sont en désaccord, la passion se libère petit à petit et malgré une certaine frustration au sujet de cette relation ; je pense ressentir des émotions. Pour couronner le tout, il y a une intrigue pseudo thriller, est-ce nécessaire sur ce livre ? Non. Est-ce original d'intégrer du suspense ? Oui. Cependant, je suis sceptique, la plume de Scarlett Cole me paraît moins naturelle sur cette suite, dans « Strong », les mots coulés de source. Et puis, pour être honnête, la narration à la troisième personne du singulier me gêne énormément pour réussir à mon plonger entièrement dans l'histoire.


    MON PROCHAIN CHALLENGE

    > Comme promis, je viens vous dévoiler quelques informations sur le prochain challenge que je vais lancer. Déjà, le titre, Les Battles Littéraires. J'ai préparé un montage pour ici, mais si quelqu'un souhaite en faire un autre beaucoup plus joli que le mien, libre à vous !

    <image>
    Pour commencer, c'est un challenge d'équipe. Deux équipes vont devoir s'affronter durant 3 mois, l'idée est de créer un challenge court, où les éditions seront renouvelé à chaque fois. De plus, tout est simplifié au maximum, vous pourrez gagner des points à chaque lecture ; pour les MAJ j'ai préparé un code à copier et dans lequel il suffira de remplir avec les bonnes informations. Il est inspiré de plusieurs challenges déjà existants. Un DOC GOOGLE est déjà prêt, il sera seulement visible, mais tout est fait pour me simplifier la tâche, je vais juste noter les points et tout va se calculer tout seul. Pour vous en dire plus, il va y avoir 10 manières de remporter des points ou plus, déjà via vos lectures, 5 points à chaque livre lu. Ensuite, bien évidemment, le nombre de page et des lectures imposées. Je ne vais pas tout révéler maintenant, je veux garder un effet de surprise, et je cherche peut-être aussi à trouver des idées en plus. Les inscriptions seront lancées fin Juillet, le challenge commencera début Septembre. J'espère vous voir nombreux !


    > Je termine pour ce soir, avec ci-dessous une musique. Je sais, il est tard ou tôt le matin, tout dépend de comment on le voit. Pourtant, je me suis mise à 22h, mais la réalisation du montage pour le challenge m'a pris du temps. Et en plus, je vais prendre aussi du temps sur la présentation ici-même. Là, je boucle ça et je vais aller lire, j'en ai besoin et surtout je souhaite finir ce roman d'ici ce soir 00h et il me reste encore 240 pages. J'ai aussi mis des livres encore dans mon panier, je n'ai rien acheté encore, malgré toute l'envie. J'en ai 12 dedans, mais je ne compte pas les commander tous d'un coup. Je verrais ça sûrement début Juillet... En attendant, je vous invite à rejoindre le Loto Littéraire, une place est disponible. Je vous souhaite une belle fin de semaine et je tente de revenir jeudi soir, ne pouvant pas revenir avant dimanche soir après ça. Le son que je vous partage ce soir m'accompagne souvent ces derniers temps pour écrire mes chroniques, il m'inspire. Assez bavardé.

    MUSIQUE DU JOUR : Nothing Scares Me Anymore de Steve Angelo & Sam Martin

    Dernière modification par Les Faces Litteraires (17 Juin 2020 03:05:22)

  • Cendre

    Gollum littéraire

    Hors ligne

    #35 21 Juin 2020 21:48:32

    Tes suivis sont toujours hyper biens organisés et très complets. Ca doit te prendre un temps monstre de faire tout ca. Rien que la mise en page, chapeau !
    Pour le challenge Pokemon, je m'étais rendu compte qu'il y avait bcp de consignes mais je ne pensais pas à 800 tout de meme. Là, c'est sûr que tu comprends mieux pourquoi il est classé en illimité.
    Bon pour ma part, j'essaie de limite un peu mes challenges, surtout les illimités pour pouvoir me lancer dans des nouveaux qui durent le temps d'une sessions de manière régulière ;)
    Tu donnes trop envie avec ton nouveau challenge en tout cas ! J'ai hate de voir ce que ces Battles Littéraires vont donner :pink:
  • Les Faces Litteraires

    Lecteur professionnel

    Hors ligne

    #36 21 Juin 2020 23:45:36

    Cendre → Merci, c'est très touchant, alors oui, ça me prend un temps fou. La mise en page, comme tu le mentionnes, est très longue à faire, mais c'est réellement une habitude à prendre. Plus je vais le faire, et plus je vais être "rapide", enfin je l'espère ! Et oui, 800 consignes, c'est énorme pour un challenge, après pour la plupart des participants, il regardent les consignes et ils prennent la première qu'ils trouvent pour leur lecture, ce que je comprend. Et en effet, il vaux mieux qu'il soit en illimité ! Alors, pour être sincère, je ne tente même pas de me limiter sur les challenges, je sais que 2 mois après cette résolution là, je m'inscrirais à tout les challenges que j'ai laissé passer. Tant que je ne dépasse pas les 50 challenges, ça devrais aller - j'en ai 19 en cours actuellement. Si les challenges par édition t'intéressent, je t'invite à rejoindre le prochain challenge alors, les Battles Littéraires, en plus tu as l'air d'avoir hâte de son lancement. Pour être honnête, plus les jours passent et plus ça me tarde de le mettre en ligne, mais ça va être hyper simple comme challenge !

    *****************************************************************************************

    > Bonsoir, normalement, je devais passer Jeudi soir et au final, j'ai choisis d'attendre un peu. Je pense faire quelques changements, en mettre moins, mais venir plus souvent. Donc, vous retrouverez moins de rubrique sur le coup, déjà, je vais mettre moins de temps à le faire et vous aurez une lecture plus facile de mon suivi. On commence toujours par un petit sommaire.
    Point lecture
    Lecture en cours
    Musique du moment


    POINT LECTURE

    > Cette semaine j'ai fini et chroniqué Sous ta peau, Tome 2 : Broken de Scarlett Cole. N'hésitez pas à me dire si vous connaissez et ce que vous en avez pensé. C'est le genre de lecture où je ne pense plus, où je réfléchis presque pas.

    Avis :<image>
    « Broken » est la suite de « Strong », après Trent et Harper, je rencontre Drea et Cujo. Les débuts avec ce roman m’ont paru difficiles, très loin de l’histoire du premier volume de « Sous ta peau ». Je me sens plus éloignée de ce récit, moins emportée ; cependant, après quelques chapitres, l’intrigue est prenante tout comme la romance. Pour être tout à fait honnête, cette œuvre est à la hauteur du précédent, avec des hauts et des bas. Dans ce tome, les émotions semblent plus libérées en comparaison, par contre, le suspense laisse à désirer. Un scénario intéressant, mélangeant histoire d’amour et pseudo-thriller ; malheureusement, le grand mystère se dévoile à nous très rapidement. Je suis mitigée sur la plume de l’auteure, entre un commencement où l’écriture est lourde, un peu brouillon, et, une deuxième partie où Scarlett Cole relate des mots plus profonds et naturels. Un univers entièrement New-Adult accompagné par cette marque d’enquête policière, apportant cette différence agréable et à même de captiver.

    Drea est une héroïne jonglant entre son travail au café, les préparatifs du mariage de sa meilleure amie, et sa mère gravement malade. Elle est épuisée et des événements se déroulent sous ses yeux, la poussant à prendre encore plus sur ses épaules. Certes, elle est forte, courageuse ; toutefois, elle est incapable de demander de l’aide et sa fatigue émotionnelle et physique s’empire sans aucun étonnement. Je me suis prise d’affection pour cette femme petit à petit, elle s’efforce de faire au mieux et peu de personnes lui témoignent de la reconnaissance ; c’est démotivant et, pourtant, Drea ne cesse d’être là et de faire plaisir aux autres. Elle s’est oubliée elle-même, ne pensant plus réellement à son bonheur. Son évolution est visible au fil des pages, son grand cœur reste le même. Et même si son indépendance ne faiblit pas, sa personnalité s’ouvre sur des confidences et de la confiance. Une protagoniste entourée par une grande « famille », et en connaissant ses difficultés ils sont prêts à la soutenir à n’importe quel prix. Elle est capable de dépasser ses limites et de mener des combats, une femme d’aujourd’hui et sa générosité est indéniable.

    Cujo ou Brody est un personnage masculin plutôt simple, il tient la boutique de tatouage « Second Circle » avec son meilleur ami ; Trent. À l’âge de huit ans, sa mère l’abandonne ; se retrouvant seul avec ses frères et son père dans un sentiment d’incompréhension. Il construit sa vie, après des épreuves douloureuses et mettant en péril son avenir personnel. Alors, Cujo, prends la décision de ne jamais entamer une relation sérieuse avec une femme, ne voulant pas être rejeté une nouvelle fois. C’est un héros légèrement pudique sur ses sentiments, tout en étant très romantique et doux ; ses cicatrices le rendent humain et accessible. Ses non-dits ne sont pas forcément un grand mystère, sa sensibilité n’est pas surprenante ; Cujo est un homme ouvert et résolu à être heureux. Son humour est chaleureux, un trait de caractère très charmant sur lui ; comme sa sagesse et son intelligence. Il est très attachant, sur sa façon d’être et de réagir ; ce n’est pas quelqu’un de rancunier en dépit des impacts sur son cœur. De plus, il essaye de s’améliorer sur sa présence au côté de ses prochains ; sa métamorphose se fait moins ressentir sur l’histoire. Du fait de la beauté de son caractère déjà mise en valeur à son entrée.

    Cette histoire est prévisible, autant sur la relation entre Drea et Cujo que sur l’intrigue à suspense. Pourtant, certains aspects du synopsis sont étonnants, sur le déroulement et les changements des personnages. La romance est peut-être plus commune que dans « Strong », néanmoins, elle demeure très agréable à suivre. Les opposés s’attirent, avec nos deux héros ; cela se confirme. Ensemble, ils forment une équipe, et, malgré leurs désaccords, la connexion est puissante entre eux. La deuxième intrigue, celle sur les recherches après la fuite d’une femme où Drea est une témoin et une victime, n’est pas forcément intéressante au commencement ; plus les chapitres avancent et davantage de rebondissements se déplient. Donc, au fur et à mesure de la lecture, une pointe de passion se constate, sans pour autant être au comble du mystère. Les émotions ne m’ont pas atteint sur la première centaine de pages, par la suite, elles deviennent touchantes. Parfois, elles sont un peu trop douces pour le style, regrettable pour cette romance où le potentiel des sentiments peut, couper le souffle.

    Une écriture à la fois complexe et naturelle sur ce deuxième tome, la nuance des informations sur la trame des investigations n’est pas toujours précise. En effet, cette partie-là est souvent désordonnée, le manque de clarté sur l’amorce du récit est gênant. Scarlett Cole rédige une romance belle et vaguement originale, avec des mots d’une part spontanés et de l’autre, théâtraux. Encore une fois, la narration externe ne s’accorde pas fluidement aux émotions, laissant un texte de temps en temps terne. L’auteure s’exprime à la troisième personne du singulier tout en changeant les perceptions, parallèlement enrichissante et désorientante.

    Certes, j’ai passé un très bon moment avec Drea et Cujo, deux protagonistes un peu inhabituels et pourtant déjà vus ; individuellement, ils sont attachants, ils ressemblent tellement à tout individu sur terre qu’ils apportent cette authenticité involontairement. En couple, ils introduisent réellement une symbiose, les différences entre eux les rapprochent comme jamais. Les scènes sensuelles ne font pas défaut, elles délivrent des émotions sans imposer de vulgarité. Toutefois, le peu de négatif dans ce roman me laisse sur un goût d’insatisfaction ; comme l’essai avec le suspense qui ne produit pas l’effet escompté, la plume de l’écrivaine de temps en temps pesante ou les développements approximatifs. « Broken » est une romance où les pages se tournent avec facilité, rapidement ; le rythme est tenu en comparaison du mystère et de la régularité sur le style d’écriture. Clairement, le négatif du premier volume est positif dans celui-ci, et vice-versa avec le positif du roman précédent constituant du négatif sur cette suite contenant un couple distinct. Un livre pour se faire plaisir, s’évader tout en restant sur terre ; partiellement sincère et inconstant.


    LECTURE EN COURS

    > Je compte finir cette lecture ce soir, donc je vais écrire ma chronique complète dans la nuit. Je pense la poster ici dans quelques jours, grand maximum, mercredi soir. Je vous laisse le résumé et un avis partiel.

    Résumé :<image>
    Anne a des problèmes d'argent. De gros problèmes. Mais se faire payer pour jouer la petite amie parfaite n'était pas une bonne idée. Peu importe que Mal soit canon et le batteur des célèbres Stage Dive. Et maintenant qu'elle n'est plus libre, son meilleur ami Reece, pour lequel elle a toujours eu un petit faible, lui déclare également sa flamme. Si seulement, au-delà du simple arrangement, l'attraction entre Mal et Anne n'était pas si forte…
    Avis partiel :
    Une lecture très étonnante, elle est attendrissante sur beaucoup d'aspect. Ce n'est pas vraiment émouvant, néanmoins, l'humour est présent et donne le sourire jusqu'aux oreilles. En vérité, c'est surtout Mal, ce personnage est tellement différent et drôle, un peu enfantin sur les bords et d'un mystère sans fin. Je l'apprécie énormément, je m'attache à lui avec douceur. Anne est une héroïne naturelle, peut-être manque-t-elle de caractère de temps en temps ; elle accepte tout sans réellement réfléchir. Malgré ça, je l'aime bien, sa gentillesse, ses réparties vivantes et ses espoirs. L'intrigue est rythmée, toutefois, elle se base sur la romance et il n'y a pas de révélation considérable avant la fin du roman. La plume de Kylie Scott est spontanée, elle s'apparente à une tornade, les mots s'avalent facilement ; la touche humoristique entoure l'oeuvre de légèreté et de bonne humeur.


    MUSIQUE DU JOUR : California de Charlotte Cardin

    > Voilà pour ce soir, j'essaye de revenir demain en journée ou soirée pour vous lister mes derniers articles sur le blog, une présentation de challenge et un avis sur une série TV. Je vais me sortir de devant l'ordinateur le temps d'aller finir ma lecture. Après ça je pense m'occuper du Listing des livres lus sur le Loto Littéraire 5, et sûrement me motiver pour écrire ma chronique. Je vous embrasse, bonne nuit et bon lundi !

  • Les Faces Litteraires

    Lecteur professionnel

    Hors ligne

    #37 24 Juin 2020 18:12:55

    > Bonjour, je suis en retard une nouvelle fois. Ces deux derniers jours j'ai beaucoup lu, et à chaque fois j'ai un peu oublié de passer par ici. J'espère que vous ne m'en voulez pas trop, moi, je me sens frustrée de ne pas réussir à trouver une petite heure pour écrire. Heureusement, je vais réussir à terminer mes lectures prévues pour le mois, donc je commence enfin à me détendre ! 3 rubriques pour aujourd'hui, les mêmes que la dernière fois.
    Point lecture
    Lecture en cours
    Musique du jour


    POINT LECTURE

    > Voici enfin ma chronique sur Stage Dive, Tome 2 : Play de Kylie Scott, rédigée dans la nuit de dimanche à lundi, et terminée lundi après-midi. Par bonheur, la musique me permet de me concentrer suffisamment pour écrire mes avis, ça m'aide beaucoup !

    Avis :<image>
    Je suis encore une fois sous le charme avec cette saga, bien évidemment, et malgré toute ma curiosité à propos de Mal, cette suite n’est pas à la hauteur du précédent. En effet, les émotions sont moindres dans « Play », l’humour prenant énormément le dessus sur les sentiments bouleversants et peut-être attendus. Je ne regrette pas les dialogues, complètement abracadabrants, ils sont drôles au point de faire sourire jusqu’aux oreilles. C’est un aspect plutôt rare dans une romance New-Adult, apportant une originalité impressionnante dans un genre actuellement commun. L’aventure avec les Stage Dive continue, cette fois, avec Mal et sa rencontre avec Anna, deux personnages hauts en couleur. Une histoire d’amour pleine de vie et de bonne humeur, cependant, l’intrigue n’est pas révélatrice et débordante de rebondissement. Heureusement, la plume de Kylie Scott est très rythmée, et les pages défilent sur des scènes et des discussions épiques. L’ensemble de cette œuvre est clairement inqualifiable, le récit est amusant tout comme les héros, l’écriture communique une énergie libératrice ; les accents négatifs se situent principalement dans les émotions en dehors de la joie, et fatalement, le suspense.

    L’héroïne, Anna, est la narratrice du livre. Elle se retrouve dans une situation misérable, sa colocataire et amie est partie en lui laissant un appartement presque vide et des loyers impayés. Elle se sent, trahie, sans pour autant s’abattre sur son sort. Une femme gardant le sourire en toute circonstance, jusqu’à se mentir à elle-même. D’une fraîcheur ravissante, Anna a les pieds sur terre, au point de se mettre en furie contre le batteur sur lequel elle fantasme depuis son adolescence. Toutefois, elle manque parfois de caractère, acceptant tout et n’importe quoi, sans, réellement, réfléchir aux conséquences. Bien sûr, elle est généreuse et prête à aider ses prochains, un peu naïve sur les bords. Elle sait, au fil du roman, poser des limites ; je me sens presque soulagée pour elle. J’ai bien aimé cette jeune femme, sa gentillesse, ses espoirs envers l’amour et son futur, ses réparties d’une justesse adéquate et surprenante. Cette protagoniste est légèrement à part et parallèlement, plutôt familière ; dans le sens « humaine » et « imparfaite ». Pourtant, je n’ai pas éprouvé d’attachement pour elle.

    Mal est le batteur des Stage Dive, dans le premier volume je me suis intéressée à ce personnage de loin, le trouvant intrigant et curieux. Je confirme amplement mon attrait pour lui, cet homme est vraiment captivant dans sa personnalité. Plusieurs fois, je me suis posé des questions à son propos, son esprit est d’une imagination impensable, ses paroles se déversent avec tellement de naturel et d’abandon. Certes, Mal, n’est pas souvent sérieux et son aise est inconsciemment sans-gêne, cultivant son charme du début à la fin. Il est irrésistible, son côté enfantin le distingue sensiblement. Ses mystères offrent une nuance plus sombre de lui, dans ses moments, où il se renferme et vole vers la fuite ; l’envie de le prendre dans mes bras s’impose comme une évidence. Sans détour, ce protagoniste est attachant, sa mentalité donne un peu du fil à retordre ; de temps en temps impossible à cerner. Mal, cache sa peine insaisissable durant ses innombrables traits d’esprit, hors du commun. En attendant, sur certaines circonstances, il est insupportable au point de vouloir lui donner des réprimandes comme à un petit garçon.

    Cette histoire d’amour commence dans une soirée, Mal et Anna entrent en contact ; et, celui-ci est déjà étonnant. Ils vont se taquiner, se mettre sur les nerfs et se dire des vérités. La relation qu’ils vont entretenir est au départ un jeu de rôle, sans aucun sentiment. Toutefois, l’attraction est de plus en plus forte à chaque instant qu’ils passent l’un avec l’autre. Ce couple est tordant de rire, Mal est facile à vivre tout comme Anna, cependant, ils vont enchaîner les passages cocasses. Entre un homme impossible à suivre dans ses délires et une femme supportant le pire, j’ai vécu des instants intenses. Néanmoins, les émotions ne sont pas vraiment harmonieuses, en dehors d’installer de la gaieté ; je n’ai pas éprouvé de sentiments marquant le cœur ou l’âme. Le récit en lui-même n’est certainement pas inédit, l’idée du « Je te paye et tu joues ma copine » est loin d’être moderne sur ce genre. En revanche, on perçoit de l’originalité dans l’humour, en dépit des sujets hors romance penchant vers une simplicité révoltante.

    Le style de Kylie Scott est déjà bien élaboré, fusionnant comédie et romance, cette auteure révèle des accords familiers. Une plume ouverte, très naturelle, favorisant une lecture fluide, cependant, les plaisanteries peuvent parfois faillir de sens, me donnant souvent l’impression de me perdre dans les échanges entre les personnages. Kylie Scott expose seulement les développements requis, et ne s’embarrasse pas de détails inutiles ; son écriture est donc réduite au minimum, et met en avant sa touche comique et délurée. À la différence des autres romances, cette écrivaine sème un seul point de vue ; celui d’Anna. Négligeant à coup sûr les pensées de Mal, sa perception inexistante fait défaut.

    Pour conclure avec ce second volume de « Stage Dive », le plaisir est entièrement présent, rire pendant une lecture est extrêmement rare pour ma part. Pourtant, ce roman au côté de Mal et Anna n’est pas digne de « Rock », le précédent possède bien plus de sentiment et d’authenticité. Ici, réellement, les traits d’humour prennent énormément de place, et enchaînent l’histoire vers la comédie. Mal est un personnage étrange, sa personnalité n’est véritablement pas courante et occasionne cette singularité inattendue ; il est fascinant et adorable dans sa manière d’être. Au sujet d’Anna, je me suis sentie proche d’elle ; toujours est-il qu’elle est vaguement quelconque sur le contenu de l’œuvre, elle apporte une bonté et des utopies attendrissantes. Tous les deux, ils forment un tandem divertissant, très humanisé ; la passion entre eux est un méli-mélo de sauvagerie et de douceur. Alors, sincèrement, le suspense est enlisé ; il n’y a pas de révélations considérables avant la fin du roman, dans tous les cas, aucune surprise sur les confessions. Kylie Scott trace le portrait d’un couple invraisemblable, sa plume est dynamique et pleine de chaleur. Loin d’être une romance révolutionnaire, « Play » est particulier selon divers angles. Un ouvrage à croquer tout naturellement à pleine dent.


    LECTURE EN COURS

    > Mon projet est de finir cette lecture ce soir, et je suis proche d'y arriver. J'en suis à plus de 75%, donc je me laisse jusqu'à 1h du matin pour la terminer. En plus, c'est un dernier tome, je suis contente de finir une saga ! Depuis le temps que ça ne s'est pas produit !

    Résumé :<image>
    « Le danger était aux portes de la cité. J'avais déjà affronté bien des tempêtes, mais celle qui venait vers nous était la pire de toutes. Un cataclysme, un fléau... Pourquoi ne nous croyaient-ils pas ? La mort s'apprêtait à s'abattre sur eux. Bientôt, le sang serait versé sur la Terre des loups. La désolation. Le néant. La ruine. C'est tout ce qu'il resterait. Ne pas fuir. Nous imposer et les convaincre. Pour les sauver tous. Pour le sauver... lui. »
    Avis partiel :
    Il y a quelques semaines, l'avant dernier tome de cette saga s'est terminé sur un suspense insoutenable. Je reprend avec le final, et dès le début, je me suis sentie retournée, l'amnésie de Leith, l'incompréhension de Hannah, les sentiments de notre beau vampire Grigore, la guerre angoissante prête à exploser à tout moment. Ce cinquième volume est tout simplement intense, vivifiant et horrible. Le début de cette saga ne m'a pas enchanté plus que ça, néanmoins, ces trois derniers romans sont débordant de rebondissements et de révélations suprêmes. J'en ai des frissons, je vis l'histoire profondément, bien que ce soit du fantastique. Je ne perçois plus autant de jeunesse, les personnages sont matures et prêt à tout, tellement braves et dans l'espoir de réussir à vivre normalement. Certes, dans cette seconde partie de « Origines », Leith me laisse perplexe, il n'est réellement plus le même et c'est déstabilisant. Je dévore cette lecture, tout à fait prenante, de plus, la plume de Sophie Jomain est simple tout en étant travaillée. Sur la dernière page, je suis certaine de ressentir un pincement au coeur en quittant les héros.


    MUSIQUE DU JOUR : Alane de Robin Schulz et Wes

    > Donc, demain, si j'ai le courage et le temps, sans rien promettre, je repasse pour vous montrer les derniers articles sur mon blog. Je compte aussi vous laisser une présentation sur un challenge, je ne sais pas encore lequel ! Je vais continuer de ce pas à publier un avis sur mon blog, déjà posté, mais je dois partager et tout le blabla avec. J'espère que vous profitez bien du beau temps. Qu'est-ce qui vous plairez de voir sur ce suivi lecture ? N'hésitez pas à donner vos idées, ou des demandes. Mon but est de le rendre attractif, pas de vous ennuyer. Kiss !

    Dernière modification par Les Faces Litteraires (24 Juin 2020 19:07:13)

  • Taevinn

    Collectionneur de pages

    Hors ligne

    #38 24 Juin 2020 18:35:56

    Helloo !

    J'avais essayé Les étoiles de Noss Head (pour ton challenge d'ailleurs ^^).  J'avais eu beaucoup de mal.. J'ai beaucoup aimé la mythologie créée avec l'univers mais j'ai eu beaucoup de mal avec le personnage principal.. Et la fin du premier tome me convenait, une suite n'était pas forcément sous-entendu !
    Par contre je vois que les couvertures sont toujours aussi belles à ce que je vois, j'avais déjà beaucoup aimé celle de la première ! J'ai hâte de voir ton avis final du coup :)
  • Les Faces Litteraires

    Lecteur professionnel

    Hors ligne

    #39 25 Juin 2020 15:55:04

    Taevinn → Pour Les étoiles de Noss Head, le premier tome et second tome ne sont pas vraiment ceux que j'ai beaucoup aimé. Par contre, dès le 3ème volume, j'ai adoré ! Alors, peut-être qu'une suite n'était pas nécessaire, néanmoins, je préfère beaucoup trop les derniers tomes pour les regretter. Je suis justement entrain de rédiger mon avis, je pense vous le partager samedi après-midi ou samedi soir !

    *****************************************************************************************

    > Bonjour, je suis de retour ! Aujourd'hui, je viens vous partager 3 rubriques, pas les mêmes que hier. Je vais tenter de faire ça rapidement, je dois écrire ma chronique sur ma lecture terminée Les étoiles de Noss Head, Tome 5 : Origines, Partie 2 de Sophie Jomain. Je jongle sur plusieurs activités, pas toujours simple. Je vous laisse découvrir le sommaire et les titres du jour !
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    > Depuis la dernière fois avec Les apparences de Gillian Flynn, j'ai publié 3 articles dont un coup de coeur ! Encore, demain, je vais poster une nouvelle chronique dessus, je dois toujours rattraper mon retard, ça n'a pas changé. Alors, on commence !

    À fleur de peau, Tome 2 : Fever de Maya Banks ←

    Avis :<image>
    J’ai passé un agréable moment, sans pour autant avoir adoré ma lecture. Certes, l’histoire semble plus émouvante que le premier volume. D’ailleurs, ce dernier, je l’ai découvert durant ma période romance-érotisme ; maintenant, j’ai l’impression de revoir le même schéma avec seulement deux autres héros. Dans « Fever », la romance est très rapide ; il n’y a pas vraiment de séduction entre Jace et Bethany, juste une certaine distance pour garder un peu leur jardin secret. Mais ils vont devoir se révéler l’un à l’autre sans se faire peur. Les dialogues m’ont paru ternes, de temps en temps mielleux. Les péripéties s’enchaînent tout en étant pour quelques-unes inutiles, et je partage que mon point de vue. Toutefois, on retrouve la plume magnifique de Maya Banks, malgré, les scènes de luxure.
    ***
    Ma conclusion est de ce fait ni exceptionnelle ni mauvaise. Une lecture plaisante, s’imposant à la suite du premier volume, mais étant moins captivante que celui-ci. Des dialogues et péripéties pour juste remplir des vides, le tout se présente sur une couche de sentiment mi-sincère mi-superficiel. Nos deux personnages, Jace et Bethany ; détiennent des défauts, des faiblesses, du courage et des valeurs, ils restent tout au long de l’histoire eux-mêmes et parallèlement ils s’adaptent l’un à l’autre. Un roman sans suspense, dévoilant des émotions brèves et une intrigue bouleversante, mais mal exploité. Maya Banks enrichit de plus en plus le style érotique, grâce à sa manière d’installer sensualité et potentiellement obscénité, cela s’accorde parfaitement, illuminant ce « genre » devenu quelconque.
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    C'est où, le nord ? de Sarah Maeght ←

    Avis :<image>
    Je termine cette lecture sous une pluie de questionnement. En effet, l’histoire est riche d’interrogation sur l’amour, l’orientation sexuelle, le métier de professeur et la religion. J’ai beaucoup apprécié l’héroïne au début, sauf que par la suite cela s’est essoufflé ; par manque de caractère de sa part. Elle est, petit à petit, ennuyante. Le reste des personnages ne m’a pas charmé, ils sont dérangés ; donnant juste de l’humour au roman. « C’est où, le nord ? » narre le chemin d’une jeune femme, en abordant différents thèmes. Un récit sur la découverte de soi et certaines prises de conscience. Cependant, les péripéties partent un peu dans tous les sens, difficile, donc, de se concentrer sur une seule aventure à la fois ; bien sûr, c’est court avec un développement minimal.
    ***
    « C’est où, le nord ? », déjà ; je ne trouve pas vraiment de sens entre l’histoire et le titre, sauf peut-être que l’héroïne est originaire de Dunkerque et qu’elle s’est installée plus au Sud, à Paris. J’ai passé un bon moment avec Ella, certes, elle est agaçante sur la fin et même si je me suis sentie parfois proche d’elle ; sa personnalité manque de vigueur. C’est un court roman abordant le quotidien d’une jeune adulte, les hauts et les bas, les doutes et les espoirs. La plume de Sarah Maeght ne possède pas d’étincelle, les dialogues énergiques et parfois sans queue ni tête expédient fortement la sensibilité des thèmes. Une histoire originale, surprenante ; tout en étant quelquefois, absurde et où on ne se plonge pas réellement dans les événements.
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    La drôle de vie de Zelda Zonk, Tome 1 de Laurence Peyrin ←

    Avis :<image>
    Des palpitations au cœur pendant, et après cette magnifique lecture. Mon cœur a vibré, mon esprit a volé et toute mon âme a voyagé. J’ai traversé émotionnellement cette histoire et j’en ai encore des frissons. Cette œuvre est un hurlement pour la liberté, l’amitié, l’amour, l’espoir et la passion. Entre questionnements, doutes, surprise, révélations, inconscient et prise de conscience ; ce roman est rythmé par des intrigues riches et des bouleversements profonds. J’ai suivi l’héroïne dans ces retranchements, dans son besoin de changement et de connaissance d’elle-même. « La drôle de vie de Zelda Zonk » mélange mystère, romance et développement personnel, jusqu’à nous emmener dans des ailleurs comme l’Irlande, Paris et le passé de Marilyn Monroe.
    ***
    Une lecture à la fois légère, émouvante et haute en couleur. Du plus profond de mes organes vitaux, je vais garder un souvenir impérissable d’Hanna, de Zelda ou de Michael. Cette synopsis m’a fait vivre tout un tas de sensation, jusqu’à être insoutenable ; une seule envie : la dévorer toute entière pour connaître le mot de la « fin » ; qui n’en est pas une en réalité. Ce n’est pas original à cent pour cent, le contemporain ; c’est connu et reconnu. En effet, les bases restent clairement les mêmes et pourtant… les lieux différents, les personnages uniques, les intrigues constantes et pleines de suspense ; enveloppent cette modernité d’une touche insaisissable et personnelle. Laurence Peyrin est une écrivaine que je découvre, et je ne risque pas de m’en remettre ; sa plume est pour moi faite de lumière où l’esprit n’est que le cœur et le corps. Un coup de cœur inattendu se mettant, en place lentement, au gré des pages se tournant et des messages.
    Pour lire l'ensemble de ma chronique


    MES CHALLENGES

    > Alors, je ne savais pas trop quel challenge vous présenter aujourd'hui, et puis j'ai choisis le Programme PP - Progress and Pal, repris par Aryia où je suis depuis peu, sa collaboratrice. Pour être honnête, je pense qu'on a besoin de participant, je vais vous expliquer ci-dessous pourquoi.

    <image>Premièrement, bonne nouvelle, ce challenge est illimité et sans contrainte forte. Par contre, le but est de lire plus que l'on achète, mais nous avons la possibilité d'acheter surtout si on est dans le vert. Tous les livres sont acceptés, néanmoins, les emprunts en bibliothèque ou autre ne comptent ni en entrée et ni en sortie. Vous pouvez toujours aller voir les règles du challenge, c'est plutôt facile, il suffit de mettre les titres des livres achetés et lus à chaque fois. Et donc ? Et bien, si vous êtes en BONUS, avec le premier Palier de 10, donc en exemple, 10 lectures contre 0 achat, votre récompense est de donner une lecture imposée à un autre participant du challenge. Et dans le cas contraire, si vous être en MALUS, avec le premier Palier de 10, donc par exemple, 3 lectures contre 15 achats, Aryia ou moi-même vous impose une lecture. Pour infos, il faut compter vos achats avant vos lectures. Les inscriptions sont ouvertes en illimité.
    Venez nous rejoindre.


    MUSIQUE DU JOUR : Alien de Dennys Lloyd

    > C'est fini, mais juste pour aujourd'hui et demain ! Je reviens samedi avec ma nouvelle chronique et sûrement ma lecture en cours. Je pense aussi laisser mes envies d'achats, ceux que j'ai le plus plus plus envie d'avoir dans ma PAL. Bon, je ne vais pas bavarder plus longtemps, je dois terminer mon avis d'ici ce soir, pour commencer ma nouvelle lecture cette nuit si possible ! Merci de votre passage, si vous passez par là !

  • Cendre

    Gollum littéraire

    Hors ligne

    #40 26 Juin 2020 12:04:45

    Les étoiles de NossHead... ca fait tellement longtemps que j'entends parler de cette saga. Ca avit fait un gros boom à sa sortie si je me souviens bien. Mais je ne l'ai jamais mise en WL car j'avais l'impression que c'était un peu un phénomène en mode Twilight. En tout cas la couverture de ce tome est superbe.

    Bonnes lectures !